
D'ailleurs 
ici quand on fait la connaissance 
de quelqu'un on aime bien sentir l'odeur de sa peau ...voir la goûter ...
Parais 
que nous... on sentait l'océan... et le biscuit !!!
 mais pas "mauvais" ...
comme beaucoup trop d'occidentaux 
qui transpirent beaucoup souvent ... et ne se lavent pas trop... 
et dont la 
sueur est amère... ou sent l'alcool... ou pire !
Le pire (et nous sommes bien d'accord) ce sont les déodorants , les odeurs de dépilatoires ...ou celles des hygiènes intimes ...on peut pas faire plus nauséeux !!
Nous on donne dans le sucré... et les filles d'ici me rappellent la saveur de la canelle
Je l'appelle Canelle
Parce que son corps est bronzé
Je l'appelle Canelle
Parce que ses cheveux sont dorés
Je l'appelle Canelle
Parce que sa peau est sucrée
Si vous voulez savoir
Comment je le sais
C'est parce que je l'ai goûtée
J'ai un oiseau qui chante
En frétillant des ailes
J'ai un oiseau qui chante
Rien que pour toi ma Canelle
J'ai un oiseau qui chante
Sans jamais se lasser
Si tu veux entendre mon oiseau
Viens chez moi au plus tôt
J'ai emmené Canelle
Dans mon bel appartement
J'ai installé Canelle
Dans mon grand lit tout blanc
J'ai installé Canelle
Dans ma vie pour très longtemps
Si je ne l'ai pas présentée à mes parents
C'est parce qu'elle n'a que quinze ans
Je l'appelle Canelle
Parce que son corps est bronzé
Je l'appelle Canelle
Parce que ses cheveux sont dorés
Je l'appelle Canelle
Parce que sa peau est sucrée
Si vous voulez savoir
Comment je le sais
C'est parce que je l'ai goûtée
( chanson d'Antoine.)
 
 Antoine... 
oui un autre fan de la Polynésie... il connaît bien par içi... mais préfère les 
Tuamotu à ce qu'il parait ! ?
son site :
http://www.antoine.tv
Même les garçons sentent bons içi ... et il n'ont pas ce côté macho qu'on aime à se donner en Europe ...ils savent rester souriants ...et exhiber leur féminité !
Arava ( bel enfant convoité) qui a mon âge est de ceux là... c'est un neveu éloigné et adopté par la famille ...y connaît pas vraiment ses parents et aide un de ses oncles à la pêche et aux champs
Il a été éduqué en "mahu"

Arawa
Jadis  
on éduquait en fille le troisième enfant de la famille, qu’il soit physiquement 
fille ou garçon cela donnait naissance à un troisième sexe les "mahu"
une bien jolie coutume ...
 avant tout cela se passait bien, jusqu’au jour où l’homophobie 
est apparue (avec le puritanisme chrétien). ( là encore une sacralisation qui 
permettait de refouler la féminité présente en tout homme...)
 Heureusement,  désormais ils sont acceptés  par les occidentaux 
et ils/elles se battent pour faire reconnaître leurs droits de 
personnes, comme partout  . 
Dans la vie de tous les 
jours, le mot ‘mahu’ désigne les travestis, tandis que les ‘rae rae’ 
sont plutôt 
ceux/celles qui se prostituent.
Et dans de nombreux métiers d'accueils ou de décoration les "mahu" sont très 
recherchés et prisés pour leur délicatesse et leur sensibilité
Souvent ensuite ils vivent en couple avec un tane (un hommeou une femme un vrai), et ont souvent un enfant ‘faamu’ (adopté) et vivent sans complexes.
Avec Titus et moi Arawa qui se savait pleinement compris et accepté a été plus qu' un frère pendant tout le séjour... il est très beau surtout dans ses poses lascives...
Chaque arii (noble tahitien) possédait son mahu (prononcer « mahou »). Ceux-ci ne sont pas assimilés à des « hommes » par les Polynésiens. Le Tahiti des temps anciens possédait peu d’interdits sexuels. Il copulait dès qu’il le pouvait, les filles dès douze ans, selon les documents de marins français du 19ème siècle. L’inceste, le motoro (façon directe d’exprimer son empressement à la fille de son choix) ainsi que la relation sexuelle avec les mahu étaient des pratiques courantes, naturelles.
Il faut 
savoir que les jeux de l'amour occupaient une place considérable dans la vie des 
Polynésiens, de suite après la nourriture et l'habitation. Dans ces îles, jeunes 
comme vieux s'abandonnaient à cet instinct naturel  depuis l'enfance 
jusqu'à la mort.
Tout était mis en oeuvre pour favoriser l'érotisme et la sexualité. :Danses, 
chansons et légendes mêle l'exploit amoureux intimement à l'exploit héroïque 
favorisaient l'activité sexuelle. 
D'un caractère obscène indéniable, certaines danses rituelles seraient classées 
triple X par les censeurs d'aujourd'hui. De plus, le simple fait de vivre 
pratiquement nu dans cet chaleur humide stimule le désir.
Aux îles Marquises, une mère était d'autant mieux considérée que sa fille 
entraînait dans son sillage un grand nombre d'hommes. Là-bas, les vahine étaient 
d'une étonnante précocité. Elles étaient initiées à l'amour bien avant la 
puberté. 
Afin de mieux s'adapter aux mâles, les grands-mères assouplissaient le vagin des 
fillettes par des massages répétés au monoi. Quelquefois, cela entraînait une 
défloration. Contrairement à d'autres peuples primitifs, celle-ci n'avait pas 
grande importance ici. Une autre pratique consistait à augmenter la taille des 
grandes lèvres du vagin, toujours par des massages.
 L'hypertrophie de ces parties sexuelles représentait un moyen de 
séduction. 
Au cours d'un voyage à Nuku-Hiva, une vieille Marquisienne me rapporta une 
habitude pas tout à fait oubliée : afin de calmer les pleurs des nourrissons de 
sexe féminin, les mères leur caressaient le clitoris. Les petits garçons 
n'étaient pas en reste et endormis souvent par une petite masturbation. ( moi ça 
me rappelle ma maman qui me faisait ça aussi...) Avec de 
telles pratiques sexuelles, ne nous étonnons pas de la réputation des 
Marquisiennes...
L'inceste, 
le motoro ainsi que la relation sexuelle avec les mahu étaient des pratiques 
sexuelles courantes. Bien que les Tahitiens fussent soumis à des tapus ( Taboo) 
régissant les divers aspects de la vie quotidienne, en matière de sexe, le 
concept de péché n'existait pas, encore moins le pardon de Dieu. Ils ignoraient 
la pudeur et la honte du sexe liée à la morale des Eglises. Le péché originel 
n'existant pas dans leur esprit, le mystère du sexe se pratiquait au grand jour.
 Assimilées à la débauche par les Européens, leurs moeurs sexuelles 
n'avaient donc rien de répréhensible. Ils vivaient naturellement les choses de 
l'amour - des jeux sexuels particulièrement prolifiques aux aberrations les plus 
étranges pour les esprits rigoristes de l'époque.
Moerenhout, dans son livre Voyage aux îles du Grand Océan, jugeait 
sévèrement ces comportements sexuels
"Les moeurs, dans toutes ces îles, étaient extrêmement licencieuses, et les plus 
sauvages même semblaient chercher quelques dédommagements à leur misère dans les 
plaisirs de l'amour... Dans ces dernières [les îles polynésiennes] presque 
toutes les classes du peuple se livraient aux excès les plus révoltants. La 
prostitution des filles à plusieurs hommes y était passion dominante. A Tubuaï, 
à Tupaia, qui ne sont fréquentées que depuis peu, les femmes étaient presque en 
commun. Aux Marquises, une seule femme a souvent jusqu'à vingt amants. [ ...] 
Mais les îles de la Société sont, de toutes, celles où les moeurs étaient 
réellement les plus dépravées... Incapables de s'arrêter à des plaisirs 
simplement voluptueux, les Tahitiens se livrent aux aberrations les plus 
étranges; Et dans leur satiété voulant raffiner sur les plaisirs, ils en viennet 
infailliblement aux plus monstrueuses débauches "
Mais revenons à nos Mahus...

A l’adolescence, dès 
leur comportement efféminé perçu, les futurs mahu recevaient une éducation 
différente des autres mâles : pas d’épreuves physiques, pas de combat ni de 
chasse. A l’inverse, les femmes leur inculquaient la féminité ... et les anciens mahu  la pratique des hommes.
Leds indiens d'Amérique du nord, du Mexique ou de l'Amazone connaissent aussi 
les "Berdaches" qui du fait de leur "genre" accédent ainsi au statut de 
chamane...et le monde Islamique les Zénith
 L’intégration des garçons pubères se traduisait par des rites 
d’initiation, le préambule en était la circoncision – ou plutôt la surincision. Ce 
rite se pratiquait sur le mae ( esplanade du temple). Le prépuce était fendu en sa partie supérieure 
par une dent de requin et, après application de cendre pour arrêter le sang, la 
plaie était laissée à l’air libre pour cicatriser. ...aidé par les bains de 
mer...Aucune obligation à subir 
cette pratique  sinon celle de se faire interpeller publiquement et d’être la 
risée des autres en cas de refus ! Cette surincision laissait un bourrelet à la 
base du gland qui explique le goût des Polynésiennes pour les hommes de leur 
race !
La tradition veut 
qu’on naisse mahu comme on naît homme ou femme. Les mahu n’ont pas honte de leur 
état, puisqu’il est « naturel » . Ils utilisent leur prénom de garçon et ne 
songent nullement à en changer. . Le mahu adolescent ou adulte porte souvent les 
cheveux longs, noués en catogan sur la nuque, et sa marche est élégante et 
déhanchée, sa  voix toujours douce et son comportement passif ...et 
lascif....d'une grande douceur...et un grand apaisement...
 Dans les années 1960,  alors que Papeete manquait de femme et que 
débarquaient les militaire du CPE ( Centre d'expérimentation du Pacifique ) 
certains mahus ont mis en évidence 
leur aspect féminin et ont fini par vivre en femmes : les raerae étaient nés 
(prononcez « réré »).
Généralement issus d’un milieu modeste, souvent incompris et maltraités lors de 
leur enfance, les raerae fuient la maison familiale très jeune. Ils approchent 
les hommes de façon provocante et intéressée pour un verre, un vêtement Toujours 
court vêtus et excessivement maquillés, ils exhibent fesses rondes et poitrine 
suggestive. Ils vivent du trottoir. Pur produit du fenua ( le pays au sens 
polynésien), la « pipe tahitienne » 
est l’invention de ces mahus travestis. Elle serait la nouvelle référence dans 
les chambrées militaires…!!!
Les raerae 
fréquentent les homos parce qu’ils rencontrent les mêmes problèmes d’exclusion 
et de marginalité qu’eux. 
Les prostituées, se plaignent de la concurrence des raerae. Par 
dépit, elles traitent les ‘raerae’ et leurs clients de « pédés ». 
Pour la plupart, ils déclarent avoir ressenti un désir sexuel pour la première 
fois entre 9 et 12 ans. Ils s’initient au sexe plus tôt que les autres et l’âge 
moyen de leur première fellation est autour de 15 ans. La « débutante » se 
dirige naturellement rue des Ecoles ( adresse chaude de Papeete!), passage 
obligatoire sur le front de mer à la sortie des boites de nuits, rue des 
marraines (!!), et elle est ‘prise’ en apprentissage par des raerae adultes. Il 
lui faut alors supprimer les poils rebelles – tous ! S’épiler le pubis en 
triangle pour simuler ou accentuer la féminité. Parfois un soutien-‘gorge 
factice’ est bourré de coton, mouchoirs, papier toilette – même de préservatifs 
remplis d’eau pour faire volume ! Le camouflage des testicules  pose lui 
d'avantage de problème. La méthode la plus courante consiste à les reloger dans 
l’abdomen, à tirer la verge entre les cuisses vers l’arrière et de coincer le 
tout avec un string. Mais l faut maintenir tout cela en place ! 
En général, lorsqu’un 
raerae a un amant régulier, il l’appelle son « mari ». Ils éprouvent une grande 
répugnance de mœurs pour le travail physique ; s’astreindre à des horaires est 
contraire à leur conception volage de l’existence ; de par leur mythomanie, ils 
perdent tout sens de la réalité et non seulement mentent, mais ils se mentent à 
eux-mêmes. Seul compte le fait d’être ‘le plus beau ou la plus belle’ aux yeux 
des autres. 
Mais pour 
les mahu, la sexualité n'est absolument pas le plus important. Leur rôle est 
autre : ils disent apporter un peu de douceur autour d'eux, comme le ferait une 
mère.
Ils s'épilent et se travestissent librement ; mangent à l'écart des hommes et 
dansent et chantent avec les femmes. Ils occupent souvent un poste de domestique 
auprès d'un noble. Ils sont cependant exclus des cérémonies religieuses. Ils ont 
des relations sexuelles fréquentes avec des adolescents.
Les jeunes adolescents ou adolescentes en mal de vahinés recourraient à leurs services, sans y 
trouver rien de mal, appréciant leurs caresses buccales ou de se masturber entre 
leurs cuisses serrées… (La sodomie était une pratique très peu répandue- on 
trouve néanmoins quelques témoignages émanant des journal des bord des premiers 
explorateurs stupéfaits par les mahus...)

 
Les mahus 
bénéficiaient d’un statut à part dans les villages au même titre que par exemple 
les sorciers, ou le chef de ce dernier. On les retrouvait très souvent 
responsables de l’organisation des festivités ou comme chef de ballet des 
troupes de tamouré. Les rois avaient tous dans leur entourage des personnes de la 
sorte. 
Débarquent alors les premiers explorateurs ( Bougainville-1768) suivis des 
missionnaires (1797) qui habillent les polynésiens, et tentent de remettre de 
l’ordre dans leurs société pour « sauver leurs âmes ». Protestants et 
Catholiques n’arrivent pas à venir à bout des mahus qui sont devenus une 
véritable institution. 
C’était sans compter sur les conséquences de l’installation au début des années 
60, par le Général De Gaulle du Centre d’Etudes du Pacifique (CEP). 
L’arrivage massif de militaires par bateaux entiers sur la Polynésie, 
consécutivement aux lancements des essais nucléaires sur Moruroa (C’est le vrai 
nom de l’île) et Fangataufa, et conjointement à la découverte de la société de 
consommation par la population a déclenché un engrenage qui bouleverse encore 
aujourd’hui la Polynésie 
Encore plus d’hommes 
mais toujours aussi peu de vahinés, les marins après des mois d’abstinence en 
mer, et les militaires de toutes nationalités habitués aux bordels et aux 
prostituées des autres villes du monde, sont loin d’être satisfaits. 
Les jeunes femmes de leur coté savent s’en amuser et n’hésitent pas à se faire 
couvrir de petits cadeaux avant de laisser leurs prétendants parvenir à leur fin 
après avoir « fait la bringue » (l’expression est typique là-bas) jusqu’au bout 
de la nuit. 
Arrivent dés lors dans les rues de Papeete de jeunes mahus qui proposent leurs 
services aux soldats. 
Leur « faire la cour » se révèle plus aisé, et ils ne manquent pas de « savoir 
faire » en matière de fellation (j’ai appris à l’occasion de ma lecture que 
comme le « baiser à la française » il existait la « pipe polynésienne »…) 
Si la prostitution existait auparavant, c’était sous la forme de troc (un père « 
envoyait » sa fille contre un service particulier), nul besoin d’argent dans les 
îles. 
De plus en plus 
influencés par les ressortissants étrangers qui foulent leurs terres, les 
tahitiens lorgnent désormais sur des biens de consommation en tout genre, 
l’argent nécessaire à se les procurer et les moyens les plus rapides pour en 
avoir… 
Ainsi à 13 ans de jeunes transsexuels se retrouvent à faire le tapin pour 
réaliser leur rêve : devenir une femme et se sentir enfin mieux dans leurs corps 
et leurs âmes (c’est sans coté sur les fléaux que sont la drogue et l’alcoolisme 
et qui vont de pair avec le monde qu’ils côtoient…). 
Dans toute civilisation court le mythe de 
l’Androgyne. La division du monde en deux sexes semble trop restreinte pour 
pouvoir correspondre à toutes les variations de l'être...et de ses variations 
dans le temps...
.En 
Polynésie, la confrérie des Arioï, réunissait des mâles qui visaient à capter et 
à contrôler les pouvoirs surnaturels féminins en étant éduqués comme des filles, 
en jouant le rôle de conteurs, de danseurs et de bouffons, et en ayant des 
relations sexuelles avec des adolescents mâles. "Les Arioï pouvaient se frotter le 
ventre avec qui ils veulaient mais ils n´avaient pas le droit d´enfanter."
Le choix du « troisième enfant » pour être 
éduqué en fille pourrait fort bien avoir eu une fonction démographique. Les îles 
n'étant pas extensibles et la place comme la nourriture ne s’y multipliant pas 
au gré des naissances. L’encouragement à l’homosexualité – ou à l’a-sexualité – 
est une coutume culturelle attestée ailleurs, qui permet de réguler les 
naissances. Notre élite de l’ancienne France ne destinait-elle pas le troisième 
fils à entrer dans les Ordres ou à se faire curé ? Une autre hypothèse, toujours 
démographique, laisse entendre que les tribus protégeaient ainsi quelques hommes 
des guerres incessantes et des sacrifices humains qui décimaient les mâles.
Il va de soi que ces coutumes sociales 
équilibrées se sont trouvées bouleversées par l’irruption de l’idéologie 
chrétienne dans les îles, tout comme par les libertés acquises grâce à la 
modernité (contrôle des naissances, choix volontaire du plaisir sans 
conséquences, images médiatiques pro-hétéro ou focalisées sur l’argent). 
Le 
mal-être contemporain des « déviants » est dû à l’inutilité sociale d’une 
coutume devenue désuète. Ce mal-être engendre des comportements affectifs de 
compensation et d’oubli tels qu’alcool et drogue. 
Le coût de tels substituts 
conduit à la prostitution, donc au mépris social hérité lui aussi de l'occident. On tourne en rond. 
Seule une 
nouvelle tolérance par la société de comportements sexuels différents de 
l’hétérosexualité ‘biblique’ obligatoire rompra le cercle vicieux. 
[ note : Gauguin a peint à ce sujet « Le sorcier d’Hiva Oa » en 1902, qui figure un prêtre ‘mahu’.

Par ailleurs un film documentaire, « Le Mahu, l’efféminé » 
a été réalisé par Jean-Marc Corillion (Polynésie française) et a été primé.
Un livre a  aussi été écrit, « Raerae de Tahiti, rencontre du troisième type », 
François Bauer, Editions Haere Po (2002). pour tous ceux qui veulent en 
savoir davantage sur cet intéressant sujet des rapports du genre et du sexe )
En suivant ce lien Titus donne quelques textes et réflexions complémentaires 
pour ceux que ça intéresse)
Tout ce que 
l'on a marqué en "jaune" nous l'avons appris aussi  au cours des veillées si 
essentielles pour se connaître
Les veillées se déroulaient ainsi à la lampe 
kérosène ... et autour du four UMU KAÏ  ( le four polynésien... ou 
Marquisien) ...le temps et l'obscurité permettent la parole 
de devenir libre et les regards de jugement de se dissiper  répandant la délicieuse odeur de l'amitié... 
et de la différence...
ponctué de quelques chansons...

 
