Près de la rivière , sous
les arbres
Se trouvent les traces...
de ce qu'il a perdu..
de ce qu'il cherche
Les herbes odoriférantes
poussent épaisses
retrouvera-t-il le chemin ?
Aussi loin qu'erre la bête
par delà les collines
Son nez touche le ciel
Et personne ne peux le cacher (...)
Au fil des textes...
au fil des expériences qui laissent insatisfaits
au cours des engagements où l'on a l'impression de ne plus être
broyés par toute la machinerie qui les entoure et réclame l'abandon de soi même pour que
d'autres s'en repaissent...
qui lui collent l'étiquette qu'il voudraient voir de lui
...peu à peu l'horizon s'éclaircit ...
l'éveil de l'intelligence mène à la vraie connaissance...
Les empreintes sont trouvées...
On réalise désormais que les récipients aussi
variés qu'ils soient comportent tous de l'or...
et que le monde est une réflexion pour soi même...
Tout est signe ...message... ou parabole...
qui ne parle qu'à soi même et que
l'on ne peut partager...
Pourtant il est difficile de
distinguer au début de la route ce
qui est bon pour soi...
et faire la différence d'avec ce qui ne l'est pas...
L' esprit ne discerne pas encore clairement le Vrai et le factice...
manquant de racines et d'expérience
il se trompe trop souvent
La porte n'est pas encore franchie...
Elle est seulement entre-ouverte...
On s'est contenté de remarquer les traces...
les traces du Buffle...