Play-back pontifical
mercredi 9 février 2005.

 


Loin de moi mes amis l’idée en ce début de Carême et jour des Cendres de tirer sur une ambulance car je respecte trop la douleur, la maladie et la déchéance de chacun.

Mais les récents événements sur l’état de santé du pape illustrent encore une fois les méthodes de l’Eglise qui au lieu de conseiller par sagesse et charité au "noble vieillard" de se retirer honorablement en quelque communauté pour y finir paisiblement ses journées entouré de religieuses dévouées et graciles, s’acharne à le maintenir en place pour mieux agir sous couvert ( et sans être responsable de rien) et entretenir un culte de la souffrance rédemptrice et salutaire qui dénature le message chrétien.

Or donc ce Dimanche un enregistrement de la voix papale est venu au secours du pape Jean Paul II incapable d’articuler clairement en direct la dizaine de mots de sa bénédiction dominicale....et ce n’était pas celle de l’esprit... mais bien celle produite par une grossière manipulation dont l’Eglise depuis ses débuts s’est fait une spécialité pour mieux duper les gens.

Le pape a commencé à prononcer la formule de bénédiction d’une voix faible et rauque qui, rapidement, s’est étouffée dans sa gorge, l’obligeant à s’interrompre....

Son valet de chambre, Angelo Gugel, qui avait placé le micro devant lui, s’est alors retourné, probablement vers des techniciens de Radio Vatican chargés de la transmission radio-télévisée.

Après une brève coupure du son faisant penser à un problème technique, le ton du souverain pontife avait changé....

Une réécoute de l’enregistrement de la bénédiction met en évidence cette différence.

"Le pape béni la foule mais en play-back", a annoncé l’agence d’information italienne AP-com.

La bénédiction du pape avait été "probablement pré-enregistrée" : d’ailleurs les images de télévision montrent que le pape a prononcé les derniers mots de la bénédiction le visage masqué par une feuille de papier que tenait son assistant.

De plus avant l’apparition des images sur les écrans de la télévision vaticane, les journalistes avaient pu entendre dans les hauts parleurs de la salle de presse du Saint-Siège le début d’un enregistrement de la voix du pape s’efforçant de prononcer la formule de la bénédiction.

Samedi, le cardinal secrétaire d’Etat Angelo Sodano, numéro du Vatican, avait déclaré que l’on pouvait prêcher l’évangile "avec la parole, mais aussi avec la maladie et la souffrance"....

Devant ce qui est une évidence et une mise en évidence d’une parfaite manipulation et d’un mensonge du "système" le vatican persiste et s’enfonce...il dément !

Le Vatican ment...le Vatican ment !...le Vatican est déliquant/déviant/dément ! ( sur l’air de Radio-Paris ment...Radio-Paris ment... Radio-Paris est allemand... pour ceux qui ont connu l’occupation...)

"Les paroles du Saint Père pour la bénédiction de ce matin ont été prononcées au même moment où elles ont été entendues en direct pendant la retransmission", a déclaré le porte-parole du Vatican, Joaquin Navarro-Valls, à l’agence Ansa.

"L’affirmation selon laquelle un enregistrement préalable de ces paroles a été retransmis à ce moment n’a aucun sens", a-t-il ajouté.

Faut-il y voir un symbole en ces temps troublés ? Le pape Jean Paul II avait tenté vainement le dimanche précédent de lâcher une colombe de la paix depuis la fenêtre de ses appartements mais celle-ci avait refusé de prendre son envol au-dessus de la place Saint-Pierre.

Le souverain pontife s’exprimait devant plusieurs milliers de jeunes d’une organisation catholique italienne. Il était assisté d’un petit garçon et d’une fillette de huit ans, qui ont exhorté la communauté internationale à ne pas oublier les enfants qui vivent dans des régions ravagées par des conflits. Le pape a ensuite prié pour que les jeunes "qui désirent si ardemment la paix, deviennent des bâtisseurs courageux et tenaces" de la paix.

Puis, les deux enfants ont lâché deux colombes, mais les oiseaux blancs, probablement effrayés par le froid hivernal, sont immédiatement retournés à l’intérieur du bâtiment. En riant, Jean Paul II a attrapé une des colombes et l’a chassée dehors. Mais après un court vol au-dessus de la place, elle est retournée d’où elle venait...

Les animaux eux , à la différence des cathos-corrects aveugles et bornés savent détecter, les supercheries de l’Eglise !



D’après des faits réels relatés sur le net, ce n’est pas une fiction




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