Peau de zob de moine à vendre sur le net
jeudi 3 février 2005.
Une bénédictin au lourd passé de légionnaire et militant du droit des consacrés
a une sexualité épanouie voulait vendre aux enchères le tatouage de Saint
Tarcisius qu’il s’était fait tatouer sur le pénis pour immortaliser une relation
avec un convers aujourd’hui reconverti dans le cinéma porno et la gestion des
dames et des travailleurs du trottoir .
Hélas il s’est vu interdire de le faire par le site d’enchères sur internet sous
pression du Vatican
En effet le site eBRAY a retiré l’offre de frère José fondateur de la très
militante association pour l’épanouissement de la libido des consacrés (ELC),
parce que le site interdit la vente de "restes humains".
"Moi je suis un animal, il s’agit de restes animaux", a-t-il répliqué.
"Il est paradoxal qu’il soit acceptable de voler les peaux de leurs véritables
propriétaires et de les vendre aux enchères, ce qui est le cas avec les animaux
à fourrure ou à écailles mais que l’on interdise à une personne de vendre aux
enchères une peau qu’elle offre de son propre chef et qui ne sera livrée qu’à sa
mort".
Sur le site de ventes aux enchères eBray,il présentait son tatouage comme un
objet "étanche" et "parfait pour faire un portefeuille ou un bracelet de
montre".
"C’est le seul morceau de peau que vous pourrez porter avec la permission
expresse du propriétaire", ajoute frère José.
"De doux euphémismes comme ’cuir’ et ’viande’ aident à masquer la cruauté du
massacre nécessaire pour la fabrication de vêtements, de bibelots ou pour
l’alimentation (...). C’est peut-être gênant de le dire, mais nous ne sommes que
de la chair et du sang", a déclaré le frère bien décidé à vendre aussi la peau
de ses orphelines intimes... et de son fondement pour cause de pécolle
[1]
Evidement cela fait désordre car ne permet plus de rêver à un "paradis" ultime
mais semble en parfait adéquation avec les célébrations des cendres toutes
proches .
Décidément la nouvelle évangélisation a une manière peu commune de nous ramener
au respect de la liturgie mes amis.
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ce texte est une fiction toute ressemblance avec des
personnes ou des faits réels existants ou ayant existés serait pure coïncidence
et entièrement fortuite
[1] la pécolle c’est la peau du cul qui se décolle m’a précisé
mon praticien
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