Vente immobilière d’une maison close par
le diocèse de Lyon
jeudi 23 juin 2005.
Le cardinal Philippe Barbaresque, archevêque de Lyon, spécialiste mondial de la
sexualité de Tintin, adepte du grand écart et de l’exhibition de ses cuisses à
la presse et à la belle devise "plus bas toujours plus bas" comme les finances
de son diocèse, a annoncé la mise en vente de 4 immeubles et le tranfert du
siège de l’Archevêché, pour réduire "les coûts de fonctionnement" du diocèse.
L’Archevêché a décidé de quitter le site de Fourvière, où elle louait des
bâtiments appartenant à la congrégation religieuse de Jésus-Marie. Elle
s’installera dans la Maison diocésaine, située dans le 5ème arrondissement de la
ville.
Quatre immeubles appartenant au diocèse, d’une surface totale de l’ordre de
20.000 m2, seront mis en vente ou proposés à la location très longue durée.
Parmis eux une maison close , ancien "bordel ecclésiastiques" situé rue Mercière
dans la presqu'île va être mise aux enchères, pour cause d’insolvabilité de son
propriétaire, a annoncé jeudi le journal " le catho lyonnais décoincé".
L’établissement, appelé "Petite Fleur Marie Magdeleine", avait ouvert ses portes
en 1998, et était considéré à l’époque comme le première maison close catholique
et nonobstant correcte et légale de la ville.
C’est la banque Ambrosiano ( dont on connaît les scandales passés et ses
relations avec l’octopus dei ) qui est à l’origine des poursuites, car
l’archevêché propriétaire de la maison lui doit plus de 360 millions d’Euros.
Le diocèse certes n’exploite pas lui-même l’établissement, qui abrite une
soixantaine de prostituées ( certaines religieuses) originaires du monde entier
mais principalement d’europe de l’Est, payant chaque jour 130 euros pour leur
chambre.
Mercredi, huit personnes dont plusieurs Imams désireux de créer un hammam se
sont présentées pour visiter l’établissement, qui sera vendu aux enchères le 12
juillet.
La maison est évaluée à 1,8 million d’euros, un montant que seraient prêts à
payer les exploitants de la chaîne St Hugues qui dans la Drôme monopolisent
l’industrie du jeux , des casinos et autres maisons de loisirs sous la houlette
éclairée de Mgr Commerçant , l’évêque émérite roublard du lieu .
A Lyon, le prix moyen de vente au m2 s’établit à 2.054 euros. "Au terme de trois
années d’études réalisées par le diocèse avec des experts" et dans un souci de
"valorisation du patrimoine" et afin de pousuivre la publication de ses études
exégétique sur Tintin, Mgr Barbaresque a décidé de ne conserver que 3 des 7
sites du diocèse. Parmi eux, la Maison Saint Irénée, siège actuel de la Maison
diocésaine où seront transférés l’Archevêché et le Séminaire Interdiocésain.
Les deux autres sites conservés sont deux centres diocésains situés l’un sur la
commune de Francheville et l’autre dans le 5ème arrondissement de Lyon seront
réservés à ses besoins personnels dans un souci de pauvreté et d’humilité
ecclésiale
En vertu du droit canonique, l’Archevêque de Lyon qui a obtenu l’accord des
instances diocésaines, devra encore demander l’autorisation du Saint-Siège pour
la vente des 4 sites, dont les négociations débuteront en janvier. Les travaux
sur les sites conservés débuteront au printemps 2006 et s’achèveront en 2012.
Gâce à la nouvelle évangélisation on ne pourra plus citer le célèbre et
irrévérencieux dicton anticlérical lyonnais qui professe que " pendant que rue
Tupin les mercières cathos corrects débitent des pelotes de laine, rue Mercière
ce sont les putains pour cathos-corrects qui pelotent la laine des bites !"
Véritas !
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ce texte est une fiction aussi toute ressemblance avec
des personnes ou des faits réels existants ou ayant existés serait pure
coïncidence et entièrement fortuite
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