et toc...
jeudi 19 mai 2005.

 


Un nombre croissant de cloitrés bénédictins prennent des antidépresseurs pour combattre des troubles obsessionnels compulsifs (Toc) indique une étude vaticane.

Environ 3 à 6% des religieux bénédictins souffriraient de ce mal, que l’on peut identifier facilement en observant le moine ou la religieuse se mordre la queue ou la ceinture, tourner sur lui-même, courir après son ombre, marcher tout doucement ou encore se lécher sans fin, a indiqué l’Os Serviteur Romano.

Le Père Robert,spécialiste de cette symptomologie ecclésiale, a expliqué que la combinaison de certains gènes et l’environnement du religieux, avec des écoles et des magasins proches et sources d’excitation pour eux, étaient à l’origine de ces comportements.

Le Père Robert, qui doit aborder ce problème cette semaine lors de la conférence annuelle de l’Ordre bénédictin, a indiqué que les laïcs pouvaient aussi transmettre leur stress à leur environnement après une dure journée de travail. "Les religieux en contact avec des laïcs pourraient sentir l’odeur de l’adrénaline et ressentir le changement du langage de leur corps devenant ainsi stressés et susceptibles de toc .

Le Père Robert a aussi précisé que ces comportements étaient liés à la solitude le plus souvent , le religieux essayant par exemple d’attirer l’attention en tournant sur lui-même", a-t-il déclaré.

En tous cas nous voilà éclairé sur les curieux comportements du frère Georges de Léoncel. Reste au public de se tenir suffisamment éloigné pour ne pas se faire contaminer

La nouvelle évangélisation ne doit pas se prêter à toutes les audaces mes amis !


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ce texte est une fiction aussi toute ressemblance avec des personnes ou des faits réels existants ou ayant existés serait pure coïncidence et entièrement fortuite




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