Un religieux ou consacré sur trois
confie son avenir aux jeux de hasard
vendredi 21 janvier 2005.
Un tiers des consacrés ou religieux de l’Eglise catholique préfère jouer aux
jeux de hasard dans l’espoir de s’enrichir, plutôt que de placer leur argent sur
un compte épargne... ou de croire à un au-delà enchanteur, a révélé mercredi la
société d’études de marché.
"Actuellement dans l’Eglise, quelque plusieurs milliers de consacrés rêvent de
devenir millionnaires au lieu de mettre de l’argent de côté pour l’avenir...ou
d’oeuvrer pour prendre le chemin de la sanctification ", note le Vatican dans
cette étude réalisée sur un panel de 2.005 cadres de l’Eglise âgés de plus de 18
ans.
Un religieux sur trois préfère dépenser 10 euros par semaine dans les jeux de
hasard plutôt que les déposer sur un compte épargne à taux d’intérêt élevé ou
d’en faire don aux pauvres, juge la société d’études.
"Alors que l’industrie de la finance lutte pour améliorer sa réputation et
assurer que ses clients soient correctement protégés, certains semblent encore
plus désireux de miser que de se constituer peu à peu un pécule ou de préparer
sa place pour la vie éternelle dans l’au-delà", commente l’analyste auteur de
cette étude.
"Ainsi, il semble qu’un nombre important de personnes manquent toujours de
confiance dans l’industrie des services financiers et dans le message de
l’Eglise malgré les nombreuses indulgences authentifiées et distribuées par
celle-ci au cours de l’année eucharistique", ajoute-t-il.
Les hommes consacrés sont plus enclins à jouer (40%) que les femmes (27%), qui
épargnent davantage, selon l’étude.
"Aujourd’hui, de nombreuses religieuses femmes ont pris la responsabilité de
gérer leurs finances quotidiennes et se chargent de leur budget sans vouloir le
mettre en commun avec celui de leur communauté jugée non-fiable", explique
l’analyste.
Seuls 21% des consacrés d’Eglise estiment que les banques leur donnent "tout le
temps" de bons conseils en matière de finances, relève-t-il par ailleurs. Et à
peine 3 % croient en un au-delà enchanteur
L’image du secteur financier a beaucoup souffert de la vague de scandales
portant sur des ventes abusives de produits ou services financiers ces dernières
années, explique l’étude. Et la rapacité des gens d’Eglise et leurs méthodes
proches de l’escroquerie comme dans l’affaire
Léoncel semblent expliquer de tels résultats .
Mais il semble avant tout que des cadres supérieurs de l’Eglise grands joueurs
ou trafiquants comme Mgr Commerçant ( évêque émérite de Valence) voire des
organismes liés étroitement avec la Mafia comme l’Opus Dei ont joué un rôle
majeur dans cette nouvelle croyance de l’Eglise dans les jeux de hasard, les
trafics de tous ordres ... et l’édification de complexes de Jeux ... ce qui
n’est pas perdu pour tout le monde dans le cadre de la nouvelle évangélisation
mes amis !
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ce texte est une fiction toute ressemblance avec des
personnes ou des faits réels existants ou ayant existés serait pure coïncidence
et entièrement fortuite
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