Substances illicites et dopages d’ Eglise
mercredi 3 août 2005.

 


Depuis de nombreuses années l’EAP ( Eremetic Associated Press) s’inquiète de l’utilisation croissante des substances illicites en Eglise et de voir chaque jours un peu plus vérifié la maxime "la religion est l’opium du peuple "

Nous avions longuement évoqué par le passé sur le rôle de certains fonctionnements cérébraux de type épileptique chez certains mystiques, l’utilisation abusive du Viagra dans le vin de messe ou de la banalisation des substances dérivées du cannabis dans les lieux monastiques. Sans oublier les dangers des séjours prolongés dans les églises

Plusieurs enquêtes récentes mettent en évidence le danger croissant de nouvelles méthodes utilisées par un clergé de plus en plus clairsemé et pervers. C’est le cas de la soumission chimique par le biais des saintes espèces. Le phénomène prend de l’ampleur. En 20 mois, 119 cas avérés ont été enregistrés. Les femmes et les mineurs en sont les principales victimes.

Six fois sur dix les agresseurs utilisent des benzodiazépines. Les faits surviennent essentiellement au cours des célébrations ou au cours d’une réunion festive ( Kermesse, étape de marche et prière , veillée scoute , réunion charismatique, Jmj ... etc...) Les membres indélicats du clergé portent de préférence leur dévolu sur des femmes jeunes et bien faites (60% des cas) et/ou des mineurs (13%). Et ces victimes subissent le plus souvent une agression sexuelle.

Une agression dont elles ne se souviendront plus. Car les substances utilisées ont été incorporées à leur insu dans les hosties ou les boissons ( vin de messe inclus) qui ont pour point commun d’être sédatives, amnésiantes et/ou de lever chez la victime toute inhibition, c’est-à-dire tout sentiment d’interdit social ou moral. Voilà pourquoi cette méthode est utilisée spécialement lors des campagnes de recrutement pour remplir les séminaires, les cours de caté ou certains monastères en voie d’extinction .

Inquiétant aussi l’utilisation du foulard ou des cols durs voire des coucoules dans des jeux d’étranglements utilisés pour parvenir à des sensations euphorisantes, "off limits" voire des visites express des enfers ou du paradis de type NDE [1]

Ce "jeux du col dur" est un jeu d’étranglement qui date des années 50 qui consiste à provoquer un évanouissement par strangulation ce qui entraîne une diminution de l’irrigation du cerveau en oxygène. Pour réveiller la personne, il faut lui donner des claques mais cette pratique peut avoir de graves conséquences neurologiques irréversibles, voire fatale. Ce jeu se pratique seul ou à plusieurs.

Provoquant aussi des plaisirs érotiques de type sado maso avec des érections amplifiées illustrées lors de la célèbre mort du Prince de Condé [2] ou par le célèbre film d’Oshima "L’empire des sens" [3]

Enfin signalons l’apparition d’une nouvelle substance baptisée "crystal meth", une super amphétamine six fois moins chère que la cocaïne mais à l’effet dix fois plus puissant, qui fait des ravages dans les séminaires ou maisons de retraite diocésaines, détruisant les cerveaux de ceux qui s’y abandonnent et...leurs dents.

on comprend dès lors les ennuis de Mgr Lapince et son célèbre dentier balladeur...et l’état déplorable des dentures de nos prêtres ou consacrés.

"Il n’y a jamais eu une drogue qui ait eu des effets aussi dévastateurs sur la denture que le crystal meth," a expliqué récemment le docteur Gilette.

Elle provoque un pourrissement tellement rapide que certains patients doivent se faire arracher toutes leurs dents.


Les dégâts sont impressionnants : les dents deviennent fragiles et cassantes et des cavités noires se forment le long de la gencive.

"C’est comme si vous aviez demandé à une personne de se donner un coup de marteau dans la bouche, la destruction est totale" ajoute professeur

Crystal Meth enlève toute inhibition, il est peu coûteux et il est facile à fabriquer. Il est à base de phénédrine que l’on trouve dans les médicaments contre la toux ou la grippe à laquelle on ajoute des produits ménagers comme l’ammoniaque ou du débouche-évier. Les recettes sont échangées d’un drogué à un autre et circulent sur l’internet et par bouche à oreille dans toutes les collectivités ecclésiales.

Il n’est pas rare de voir des novices de 16 ans souffrir de 18 caries alors que 18 mois auparavant ils avaient une bouche totalement saine.

la nouvelle évangélisation se doit de pratiquer des contrôles anti-dopages plus sévères mes amis !


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ce texte est une fiction aussi toute ressemblance avec des personnes ou des faits réels existants ou ayant existés serait pure coïncidence et entièrement fortuite

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[1] Near Death Expériences : expériences de mort avec retour

[2] Le Prince de Condé , duc de Bourbon Louis-Henri II (1756-1830) fut retrouvé pendu à l’espagnolette d’une fenêtre par deux mouchoirs noués. Sur son visage aucun signe de violence, dans la pièce nul désordre et la porte verrouillée de l’intérieur. Les pieds touchaient encore partiellement le sol et le noeud était fort lâche et ne serrait pas le cou. Il est à rappeler que le prince avait perdu trois doigts à la main droite lors de la bataille de Beristein en 1795, et, à cause d’une fracture à la clavicule, il ne pouvait plus lever le bras gauche. Quant au noeud lui même, il était savamment réalisé et ne pouvait pas être l’oeuvre du prince.

Le verrou était fermé de l’intérieur mais l’aversion du prince pour le suicide était connue. En outre, son handicap ne lui permettait pas de pouvoir exécuter le noeud dans les mouchoirs.

La chambre n’était pas en désordre et aucune trace de violence ou de contrainte ne fût trouvée. Comme le montrent les gravures d’époque, le prince avait les bras ballants et non attachés ce qui rejette toute possibilité d’assassinat.

Or le prince était très fougueux, très passionné. Il a toujours aimé les plaisirs sensuels. Divorcé et séparé très tôt de son épouse, il recherche souvent la compagnie de filles légères. Et c’est justement l’une d’elles qu’il a rencontré en Angleterre pendant la Révolution qui deviendra sa maîtresse attitrée. Sophie Dawes, en 1811 (elle a vingt ans) est serveuse dans un hôtel pour aristocrates en manque de chaleur humaine, (en fait, un bordel). Elle est remarquée par un ami du prince. Présentée à lui, l’intérêt du prince pour les talents de la jeune fille ont tôt fait d’éveiller sa curiosité.

En Angleterre, la pendaison était le moyen d’exécution le plus courant. Tout le monde connaissait donc la particularité physique d’une pendaison qui faisait dire que dans leurs derniers moments les pendus recevaient une dernière « consolation ». ( une érection amplifiée). Cet état de choses n’était donc certes pas inconnu de la future baronne. Agé de 74 ans le prince n’était plus aussi vif que lors de sa nuit de noces et trouvait dans de courtes strangulations les coups de fouet bienvenus pour satisfaire sa jeune maîtresse....mais le jeu était dangereux... et il en est mort !...de plaisir...

[3] L’Empire des sens (japonais : Ai no Korida,) est un film franco-japonais de Nagisa Oshima sorti en 1976.

1936 dans les quartiers bourgeois de Tokyo. Sada, ancienne geisha devenue serveuse de restaurant, aime épier les ébats amoureux de ses maîtres et soulager de temps à autre les vieillards vicieux. Fortement excité par cette fille, Kichizo son patron, va l’entraîner dans une escalade érotique qui ne connaîtra bientôt plus de bornes. Leurs rapports sont épicés par toutes sortes de prestations annexes, ( razages intimes, strangulations pour augmenter plaisir et érections etc...) qu’ils accomplissent comme autant de célébrations initiatiques.

Au terme d’une joute épuisante, Kichizo se laissera pour un ultime plaisir poussé à l’extrème, étrangler par sa compagne, qui l’émasculera dans un geste ultime de mortification.

Ce film est inspiré d’un fait divers authentique. Dans le Japon militariste de 1936, un couple défraya la chronique en vivant une passion charnelle extrême. L’ancienne geisha Sada Abe et son amant Kichizo s’entraînèrent chacun dans une spirale érotique qui les coupa progressivement du monde extérieur. Une folie dictée par les sens qui se termina par l’arrestation de Sada Abe, retrouvée errant dans la rue avec le sexe de Kichizo qu’elle avait auparavant mutilé.

Lors de sa sortie dans les salles japonaises en 1976, L’Empire des sens provoqua un vrai scandale en raison de son caractère pornographique. Il fut ainsi censuré dans son pays d’origine : scènes coupées, zones de flou sur les parties sexuelles, comme il est d’usage au Japon.

Après quelques ennuis, et grâce à la coproduction française, le film fut diffusé dans le monde entier et connu un grand succès. L’Empire des sens fut présenté au festival de Cannes 1976, lors de la Quinzaine des réalisateurs.

Le film est bien plus qu’un simple divertissement osé, il interroge les limites de l’érotisme, les relations entre raisons et passions, les sens du mot lui-même sens, et peut être vu comme une tentative d’illustration de la phrase de Georges Bataille : De l’érotisme, il est possible de dire qu’il est l’approbation de la vie jusque dans la mort. Mais contrairement à Bataille qui y voit une célébration ultime de la vie, la soumission aux sens, sous couvert d’érotisme, peut être ici perçue avec des yeux d’Occidental comme une déviance, perverse et morbide, qui isole et coupe du monde, une impasse. ( source Wikipédia, encyclopédie gratuite du net)




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