Interdiction des bonbons au Cannabis
dans les magasins monastiques St Hugues
vendredi 1er juillet 2005.
Le conseil de surveillance des ventes au Vatican a interdit mercredi la vente de
sucettes et autres bonbons parfumés à la marijuana, promus par la chaine des
magasins monastiques St Hugues fondés et gérés comme on le sait par frère
Georges, moine exclaustré de St Benoit, bouffon officiel du diocèse de Valence
en poste à Léoncel sous l’initiative de Mgr Commerçant l’évêque émérite et
roublard, et où ces confiseries sont apparues récemment.
Ces bonbons au goût de cannabis et aux noms évocateurs de " Troublante fumée
pourpre de la petite Thérèse" ou "Benoit Rasta" sont légaux parce que fabriqués
à partir d’huile de chanvre, un ingrédient de base fréquemment utilisé dans la
confection d’aliments diététiques ou de produits ménagers monastiques. L’huile
de chanvre donne aux aliments le goût herbacé de la marijuana sans en procurer
les effets.
"Je n’arrive pas à imaginer jusqu’à quel point des religieux sont capables
d’aller pour gagner de l’argent et qui plus est sur le dos d’enfants, en
essayant de leur faire goûter quelque chose qui les mènera tout droit à la
consommation de marijuana", a déclaré un membre de la commission qui a voté pour
l’interdiction des bonbons au cannabis.
Les magasins monastiques qui passeraient outre le décret visant les bonbons
sulfureux pourraient se voir infliger des amendes allant jusqu’à 500 euros et la
possible suspension ou même le retrait de leur licence commerciale.( et de leur
franchise fiscale !!!)
A Valence, une conseillère municipale se prépare à étudier le problème cet été,
et une ville de la banlieue de Romans fait passer un arrêté pour retirer les
bonbons incriminés des épiceries.
Les moines confiseurs de l’abbaye d’Aigrebelle et fabriquants de ces produits ne
comprennent pas une décision qui frappe des bonbons, selon eux, uniquement
destinés aux personnes de plus de 18 ans.
"C’est un produit pour adultes. Je ne veux surtout pas que les enfants en
mangent", se défend le Père Van Pelt, le responsable de la fabrication des
confiseries au goût de cannabis. "Il y a 38 millions de fumeurs d’herbe dans ce
pays, c’est ce public que je vise."
Le Père Van Pelt envisage d’intenter une action en justice pour défendre un
produit fabriqué à partir d’ingrédients légaux.
"Je pense que c’est fou. Il n’y a rien d’illégal là-dedans. C’est la liberté de
choix qu’on attaque ainsi", s’est-il offusqué....comment dans ces conditions
redresser efficacement les finances des diocèses ?
Mais le Père Endémol nous montre le rapport inquiétant qui va paraitre au
Vatican sur la progression de la drogue en milieu ecclésiastique et dans
l’Eglise
Le marché mondial de la drogue en Eglise, avec quelque 200 millions
consommateurs de stupéfiants et un chiffre d’affaires de quelque 320 milliards
de dollars, est un "monstre" difficile à abattre, selon le rapport annuel du
Vatican sur les drogues publié mercredi.
Le nombre de religieux ou consacrés toxicomanes a progressé de 8% en un an, en
raison principalement de la popularité croissante du cannabis, qui a été
consommé par plus de 160 millions de personnes en 2003, soit 10 millions de plus
que l’année précédente, selon ce rapport 2005 du Bureau des Nations unies contre
la drogue et le crime (UNODC).
Les drogues de synthèse (amphétamines, méthamphétamines et ecstasy) sont en
repli à 34 millions de consommateurs contre 38 millions l’année précédente mais
les opiacés et la cocaïne, considérés comme les "drogues les plus
problématiques" par l’Onu, ont progressé en 2004.
Près de 16 millions de personnes étaient dépendantes à l’opium, à la morphine où
à l’héroïne (15 millions en 2003) et 13,7 millions avaient consommé de la
cocaïne (13 millions en 2003).
Certes de tout temps l’Eglise a été selon St Marx "l’opium du peuple" mais
désormais compte-tenu de l’usage de plusieurs produits par certains toxicomanes,
200 millions de personnes, soit "5% de la population mondiale âgée de 15 à 64
ans" ont consommé des drogues illégales en 2004, souligne le rapport.
Avec 320 milliards d’euros, le chiffre d’affaires de ce marché est "supérieur au
produit intérieur brut individuel de presque 90% des pays du monde", ce qui en
fait "un monstre" particulièrement difficile à combattre, souligne le rapport.
Si encore nous avions me monopole des ventes...mais loin de là...les autres
églises, les charismatiques , les sectes et les autres mafias nous mènent la vie
rude soupire le Père Endémol
Malgré une baisse au Laos et en Birmanie, la production mondiale d’opium a
légèrement progressé en 2004 à 4.850 tonnes, en raison de la place de plus en
plus importante prise par l’Afghanistan, qui représentait 87% du marché mondial
trois ans après la chute du pouvoir taliban. Celui-ci avait fini par quasiment
éradiquer sa culture.
Comme la consommation, la production de cannabis apparaît en forte hausse, avec
une progression de 25% entre 2003 et 2002, à 40.000 tonnes. "Tous les
indicateurs - production, saisies et consommation - indiquent que le marché
mondial continue de progresser" et "tout porte à croire que cette expansion va
se poursuivre", s’alarme l’Onu.
Après plusieurs années de baisse, la production de cocaïne est demeurée stable
en 2004 à 687 tonnes, soit 26% de moins qu’en 1999, souligne le rapport.
La baisse de la consommation mondiale de drogues de synthèse s’explique
principalement par le démantèlement d’un grand nombre de laboratoires
clandestins en Thaïlande en 2002, ainsi que par un recul de ce type de drogue
aux Etats-Unis.
En termes de santé publique, les opiacés apparaissent comme la préoccupation
principale en Europe et en Asie (62% des demandes de traitement en 2003),
l’Amérique du Sud étant plus particulièrement affectée par la cocaïne (59%) et
l’Afrique par le cannabis (64%).
Marqué par l’augmentation de la consommation de cannabis, le marché européen
voit aussi "le degré de pureté de l’héroïne s’accroître", signe d’une offre en
hausse, s’inquiète le rapport. Le continent se caractérise également par une
progression du marché de la cocaïne dans 14 pays, relève le rapport.
Au plan mondial, les saisies de drogue sont restée stables en 2003, le cannabis
représentant plus de la moitié des saisies et les produits opiacés un quart.
Le recours à ces drogues est un ersatzt, nos offices et nos paroles et nos
croyances édifiantes à l’évidence ne suffisent plus à combler le genre humain :
c’est terriblement inquiétant pour l’avenir de l’Eglise et à moins d’une reprise
en main de ce marché nous courrons à notre perte
Voilà un autre combat dont va s’enrichir la nouvelle évangélisation mes amis !
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ce texte est une fiction aussi toute ressemblance avec
des personnes ou des faits réels existants ou ayant existés serait pure
coïncidence et entièrement fortuite
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