Aveux papals
jeudi 7 juillet 2005.
Le Très Saint Père a reconnu publiquement mercredi être le père d’Alexandre, un
garçon de 22 mois issu de sa liaison avec une Française née au Togo, et qui
n’entre pas dans la succession officielle au trône de Pierre, selon l’avocat du
pontife.
"J’assume entièrement mes responsabilités et j’assurerai la part qui me revient
dans l’éducation de cet enfant, soucieux de son avenir et de la protection de
son droit à une jeunesse normale, à l’abri de la curiosité des médias", a
déclaré sa sainteté dans une interview à paraître vendredi dans l’Os Serviteur
Romano.
"Son existence n’aura aucune incidence sur le fonctionnement de l’Eglise ni sur
ma succession", a-t-il ajouté.
Célibataire convoité et par obligation contractuelle, le nouveau souverain
pontife assume ainsi la paternité d’Alexandre, né en août 2003 à Paris.
Son existence avait été révélée début mai par sa mère, Soeur Nicole, dans
Paris-Catch. Née il y 33 ans au Togo, l’ex-hôtesse de l’air racontait qu’elle
avait rencontré le prélat qui n’était pas encore pape en 1997 à bord d’un avion
et que leur "belle histoire d’amour" avait duré cinq ans.
Mercredi, un communiqué diffusé par le Saint Siège, a spécifié : le pape "a fait
et continue à faire face à ses responsabilités dans l’esprit d’ouverture qui le
caractérise. C’est ainsi qu’il a reconnu cet enfant (...)".
L’annonce est intervenue quelques heures avant la fin du deuil officiel de trois
mois observé par l’Eglise à la suite de la mort de Jean-Paul II qui devrait être
prochainement béatifié.
Le texte évoque pudiquement "l’enfant", sans jamais livrer d’élément sur lui ni
sur sa mère.
Certes, bien des fidèles avaient déjà pu voir le souverain pontife nourrir, à la
cuillère, son petit garçon sur l’une des photos privées diffusées par
Paris-Catch... Mais le Saint Père déplore qu’"une presse avide de sensations ait
publié une version unilatérale des faits ayant trait à sa vie intime et privée".
Son texte insiste : "Cette affaire relève uniquement de la sphère réservée de
l’intimité de la vie privée et demeurera du strict domaine personnel du
souverain pontife, sans incidence aucune sur l’avenir de la dynastie papale, en
application, des principes constitutionnels qui régissent la dévolution du trône
de Pierre selon le droit canon".
Voilà Mgr Barbaresque l’ambitieux archevêque de Lyon rassuré lui qui lorgne de
jour en jour d’avantage la succession papale eu égard à ses capacité aux grand
écart et à l’obséquiosité envers ses supérieurs de Rome.
Cet "enfant naturel, non légitime, n’entre pas dans la succession officielle au
trône de Pierre, et ne portera pas le nom de son père". Mais le petit garçon
"aura droit à l’héritage au même titre que les autres enfants du prélat si et au
moment où il aura d’autres enfants", a ajouté le porte parole du Vatican.
L’enfant ne peut être considéré comme un prétendant au trône parce qu’il est né
en dehors d’un mariage religieux.
"Nous accueillons cette reconnaissance avec soulagement mais vigilance", a
déclaré l’avocat de soeur Nicole.
"Reste à savoir comment cet enfant va être élevé, et quid d’une pension", a
poursuivi l’avocat, ajoutant : "ma cliente a besoin d’un statut, pour ne plus
dépendre de la bonne volonté de l’avocat du Saint Siège, qui lui verse
ponctuellement du liquide".
Mais on le sait depuis la papesse Jeanne il n’y a plus, officiellement du moins,
de papesse dans l’Eglise mes amis !
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ce texte est une fiction aussi toute ressemblance avec
des personnes ou des faits réels existants ou ayant existés serait pure
coïncidence et entièrement fortuite
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