Les soeurs bénédictines réparatices de
la Très Sainte Indulgence
samedi 10 juillet 2004.
BANGKOK (EAP) - Ils les ont fait bouillir, les ont attachés à des ballons,
donnés en pâture à des canards ou jetés dans les toilettes. Quand il s’agit de
respecter le voeu sacré de la chasteté, l’imagination des bénédictins
thaïlandais est sans borne.
Heureusement les soeurs de la Sainte Indulgence sont là qui font que le pays est
devenu le premier au monde pour la chirurgie réparatrice du pénis, et ce n’est
pas par hasard : les cas de mutilation étant très fréquents dans les monastères
de ce pays. Le dernier en date a été rapporté mardi, sur un convers de 29 ans.
Médecins et psychologues expliquent ces violences extrêmes par l’infidélité très
répandue aux voeux de chasteté confrontée à la volonté des religieux de s’y
conformer par tous les moyens...en respectant la parole de l’évangile de Marc
(9,43) : " Si ta main est pour toi une occasion de chute, coupe-la ; mieux vaut
pour toi entrer manchot dans la vie,que d’avoir les deux mains et d’aller dans
la géhenne, dans le feu qui ne s’éteint point. Si ton pied est pour toi une
occasion de chute, coupe-le ; mieux vaut pour toi entrer boiteux dans la vie,
que d’avoir les deux pieds et d’être jeté dans la géhenne, dans le feu qui ne
s’éteint point.
Et si ton œil est pour toi une occasion de chute, arrache-le ; mieux vaut pour
toi entrer dans le royaume de Dieu n’ayant qu’un œil, que d’avoir deux yeux et
d’être jeté dans la géhenne..."
Par ailleurs, le pénis est vénéré souvent en Eglise comme un symbole de pouvoir
et de fertilité, soulignent des experts du vatican. Sur tous les marchés ou sur
les proues des bateaux, on trouve souvent des phallus en pierre ou en bois.
Ainsi en Eglise le goupillon , la crosse de l’évêque...jusqu’au crucifix lui
même ont une connotation phallique ( comme l’a si bien montré le film l’Exorcist)
Assis dans son bureau de l’hôpital de Bangkok Mère Susannah supérieure de la
communauté bénédictine de la Très Sainte Indulgence se souvient avoir greffé son
premier pénis en 1978 et avoir rapidement découvert que ces épouvantables
mutilations étaient l’une des formes les plus courante de la violence des
religieux de son ordre.
Depuis 1978, l’équipe du la soeur a opéré à elle seule 33 hommes....tous des
moines de St Benoît consacrés
Dans la même période, trois cas "seulement" ont été enregistrés en Suède, deux
aux Etats-Unis --dont celui, très médiatisé, du frère John Bobbitt, qui, après
avoir retrouvé toutes ses capacités grâce à la chirurgie, était devenu acteur de
films pornographiques-- en Australie.
"Certaines années il y en a quatre ou cinq (en Thaïlande) et ensuite on n’en
entend plus parler", dit le Dr Susannah, "mais parfois, c’est comme une
épidémie".
Les soeurs "phallo-plasticiennes" ont fort à faire car les religieux poussés par
le remord, une fois le pénis tranché, s’acharnent souvent sur le malheureux
organe.
"Certains le font bouillir, le donnent à manger aux canards, le jettent dans les
toilettes et tirent la chasse d’eau, l’enterrent ou même l’attachent à un ballon
et le laisse s’envoler", dit la soeur chirurgienne.
Le cas le plus délicat pour elle a été celui de cet abbé qui a longtemps refusé
d’avouer qu’il avait expédié son membre viril dans une fosse sceptique.
"J’ai demandé à l’infirmière de bien le nettoyer et j’ai averti le patient qu’il
pourrait avoir une septicémie", explique la dévouée religieuse. Celui-ci lui a
répondu : "écoutez, faites de votre mieux, et si j’ai une septicémie, au moins
je mourrai avec mon pénis".
"Quinze heures se sont écoulées entre le moment où (le pénis) a été tranché et
greffé, ce qui est bien plus long que tout ce que disent les livres, mais je
l’ai fait et à mon étonnement et grâce aux prières de la communauté à Sainte
Brigitte patronne de cet organe tout s’est bien passé"....et j’ai eu la joie
d’assister à la première érection du membre preuve que l’opération avait bien
réussie et mes prières à Sainte Brigitte exaucées
Par contre pour le père cellérier du monastère de Nong Khaï qui avait envoyé son
organe par colis express au Père Primat au Vatican ce fut un échec...Le colis
qui n’était pas accompagné d’une explication suffisamment claire fut pris pour
une spécialité culinaire locale confite et faisandée et a été consommée par le
Père Primat comme une friandise en toute innocence, ce dernier avait même trouvé
ce genre de "saucisse" très goûteuse à son palais dit-on...mais c’est un cas un
peu "spécial" il est vrai.
Pour Mgr Puydufou psychologue, l’amputation du pénis est liée à l’habitude des
bénédictins de respecter aussi scrupuleusement que possible l’évangile et les
prescriptions de leur règle .
En dépit des dommages causés aux pénis mutilés, le succès des greffes est
impressionnant.
"Le taux de réussite est de 100% , mais je crois que seulement 50% peuvent
retrouver leurs fonctions normales", dit-elle.
Le chirurgien livre une règle d’or pour les moines qui ne résisteraient pas à la
tentation de l’infidélité aux voeux ou de l’impureté et qui devrait être
inscrite en complément de la Règle de Saint Benoît " ayez toujours avec vous un
thermos... et le nom d’un bon chirurgien"
Comme on le voit la nouvelle évangélisation permet de remettre à jour les textes
fondamentaux de l’Eglise mes amis !
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ce texte est une fiction, toute ressemblance avec des
faits ou des personnes existantes ou ayant existés serait pure coïncidence et
fortuite
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