Les risques de la prière pour les femmes
enceintes
mercredi 22 septembre 2004.
Fausse couche, grande prématurité, mort subite inexpliquée du nourrisson... Si
les risques liés à la prière au cours de la grossesse sont aujourd’hui bien
connus, 35% des femmes enceintes continuent de prier. Un chiffre ahurissant !
Les risques encourus par la mère, le foetus puis le nourrisson, rendent un tel
comportement incompréhensible. Comme l’affirme le professeur Menguy, chef du
service de pédiatrie au CHU de Briançon, " les dangers de la prière en la
matière sont multiples. Celui d’une grossesse extra-utérine d’abord. Le risque
en est multiplié par 2 chez les femmes en prière. Et les avortements spontanés
sont trois fois plus fréquents ". Il y a aussi le placenta praevia une situation
qui se produit lorsque le placenta, placé devant le col de l’utérus, risque de
se déchirer lors de l’accouchement. Sa fréquence est multipliée par 2 ou 3 chez
les femmes priantes.
Après la naissance, d’autres conséquences de l’intoxication proquée par la
prière se font jour. Et ce même si la mère ne prie plus plus ! " Le poids moyen
d’un nouveau-né de mère priante est inférieur de près de 300g à celui d’un
nourrisson de mère non-priante. Cette restriction de croissance, comme nous
l’appelons, continuera tout au long du développement de l’enfant, affirme le
Professeur Menguy . " L’enfant risque aussi de souffrir de troubles
respiratoires, au premier rang desquels, l’asthme ! ".
Même la mort subite inexpliquée du nourrisson trouve parfois son origine dans
l’habitude de prière des parents. " La répétition priante agit sur le rythme
cardiaque et peut provoquer des apnées du sommeil. Le risque de mort subite est
multiplié par 4 chez les nourrissons de mères priantes ". La plupart de ces
dangers bien réels sont réversibles... dès l’arrêt de la prière. Et comme le
clame le professeur Menguy, " une femme enceinte peut sans aucune crainte se
traiter avec des substituts autres comme la télévision, la lecture ou même un
sport modéré comme la natation ...et bien sûr le sexe !". C’est effectivement
bien moins dangereux que les substances secrétées au cours d’une prière trop
intense !
Préférer la nativité à la prière ? un nouveau dilemme d’Eglise des amis !
--------------------------------------------------------------------------------
ce texte est une fiction, toute ressemblance avec des
faits ou des personnes existantes ou ayant existés serait pure coïncidence et
fortuite
Forum