Dépité par le départ d'un frère, il se tranche le pénis
mercredi 17 mars 2004.


TREBEURDEN (EAP) - Désespéré par le départ d'un frère, un bénédictin de 35 ans s'est tranché le pénis d'un coup de machette après avoir tenté en vain de s'égorger et de se tailler les veines.

Selon les informations données par le Père Abbé de Landeauvarech, le Père José a été admis en urgence à l'hôpital de Rennes, son organe sexuel à la main mais les médecins n'ont pas réussi à le lui greffer.

Selon ses proches,le frère a d'abord essayé de se couper la tête avec son coupe-coupe puis s'est entaillé les poignets après avoir appris qu'un frère avec lequel il avait une liaison l'abandonnait pour un autre homme.

Le religieux, hospitalisé dans un état grave, est surveillé de près par les médecins car il a affirmé être prêt à tenter de nouveau de se suicider.

Le Père Abbé de Landeauvarech et l'évêque de Rennes Mgr Pinard ont réfuté avec force cette thèse colportée selon eux par une presse malfaisante et honteuse ou des sites internet "douteux"

En fait selon eux le frère avait simplement failli à son ascèse virginale de Carême en s'étant accordé un "petit supplément" ce qui n'est autorisé seulement que hors des périodes de jeûne et dans les limites raisonnable d'une fois par semaine pour les plus vigoureux .
Pris de remords le frère aurait alors décidé de pratiquer la recommandation évangélique qui consiste à se débarrasser loin de soi de l'organe qui vous fait pêcher et de le rejeter loin de lui ce qu'il mit à exécution en se tranchant le pénis dans les toilettes de l'abbaye. Voulant ensuite s'en débarrasser dans la cuvette ses frères inquiets de sa présence prolongée en ce lieu l'ont trouvé son organe à la main et le conduisirent aussitôt aux service des urgences de l'hôpital de Rennes.

Selon eux si faute il y a c'est seulement d'avoir oublié de placer le pénis dans un petit sac contenant de la glace pour qu'il puisse être transporté sans dommage et greffé avec succès . Le Père Abbé du monastère de Landeauvarech a tenu à préciser qu'il connaissait en outre une fabrique de bénitiers à goupillons susceptible de lui fournir à moindre frais d'excellentes prothèses ( en l'occurrence des ensembles dépareillés) susceptibles d'être greffées en remplacement du membre perdu et "bien plus rigide que l'original" ajoute-t-il

Un acte de sainteté récupérable donc qui montre que les médias font tout pour salir une nouvelle évangélisation qui désormais les inquiète !


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ce texte est une fiction, toute ressemblance avec des faits ou des personnes existantes ou ayant existés serait pure coïncidence fortuite