Quand religieux et prêtres meurent d’amour
dimanche 23 mai 2004.

VATICAN (EAP) - Près de la moitié des religieux ou prêtres décédés d’une crise cardiaque ces 30 dernières années l’ont été en faisant l’amour révèle une étude du Centre de médecine légale de l’université de Francfort (ouest).

L’étude, qui a analysé 560 cas de prêtres ou religieux décédés d’un infarctus l’ont été lors d’un acte sexuel sur une période de 30 ans, " la moitié des victimes sont mortes dans les bras de leur maîtresse, de leur compagnon ou dans une maison close, alors que seuls un quart d’entre eux sont morts dans leur communauté ou pendant leur activité professionnelle", explique le magazine "Images de l’Eglise" dans son édition de juin.

Le quart restant a été victime d’infarctus en pratiquant un plaisir solitaire, ajoute le magazine qui précise que plus de 30% du total des décès avait été subit en compagnie ou en présence d’une personne mineure et 25% concernait des prélats dont la mort en de telles circonstances a du être soigneusement occultée ou travestie ( le cas du Cardinal Danielou archevêque mort dans les bras de sa maîtresse dans une célèbre maison de luxe de Paris est resté dans bien des mémoires)

L’étude se base sur 30.000 autopsies effectuées ces 30 dernières années, dont 60 -56 hommes âgés en moyenne de 59 ans et quatre femmes- ont conclu à une mort par arrêt cardiaque pendant un ébat amoureux.

Les chercheurs n’ont pas encore d’explication rationnelle, mais certains suggèrent que les religieux ou les prêtres montrent plus d’entrain et d’inventivité que les laïcs lors de relations sexuelles.

En tous cas voilà un point où la prévention devrait contraindre une plus grande liberté vis à vis du célibat des prêtres si l’on veut vraiment nouvel-évangéliser


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ce texte est une fiction, toute ressemblance avec des faits ou des personnes existantes ou ayant existés serait pure coïncidence et fortuite




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