Les maisons closes italiennes avaient bien préparé le dernier Jubilé papal
mardi 4 novembre 2003.


Rome (EAP) - A l'occasion des récentes fêtes du jubilé ont apprend de source cléricale des plus sûres que les maisons closes italiennes avaient fait provision de fouets et autres instruments sado-masochistes en vue de la forte hausse du marché du sexe attendue pendant cette période de festivité.

Les maisons closes sont légales en Italies, où environ 16.000 prostituées travaillent dans un millier d'établissements. Avec plus de 100.000 visiteurs attendus pendant le Jubilé, qui a eu lieu à Rome mi octobre, Roberto Napoli, responsable de l'association Eros a estimé que l'activité du secteur a augmenté de 30 %.

Selon lui, la tradition des sévices physiques qui remonte à l'Inquisition a fortement imprégné la mentalité religieuse des prêtres et des fidèles même s'il n'en sont pas conscients et le christianisme est profondément masochiste dans son essence avec son "dieu crucifié". De plus les clercs sont astreints au célibat forcé avec tous les fantasmes que cela engendre et cela ne fait qu'augmenter la demande pour les services de correction et d'asservissement sexuel.

"Ce n'est pas cependant quelque chose de très répandu en Italie, a déclaré Roberto Napoli. De nombreuses maisons closes ont donc due exceptionnellement et fort opportunément s'approvisionner en instruments de domination".

Selon lui, la prostitution a augmenté de 50% pendant ce jubilé papal et de béatification de Mère Thérésa.

"De nombreux visiteurs sont venus de pays où les maisons closes sont interdites", a précisé Roberto. " et le châtiment le plus demandé est curieusement le martyre de St Sébastien ou après avoir s'être fait fouetté le client est dardé de coups d'aiguilles à larder qui donnent l'illusion d'une volée de flèches..."

Par ailleurs, un Père spécialiste sexologue australien a prévenu par circulaire les Pères supérieurs des couvents et séminaires qu'ils risquaient de voir leurs éléves ou leurs religieux souffrir d'une baisse de l'activité après le Jubilé et leur a conseillé de se montrer compréhensifs tout en leur demandant de demeurer très attentifs aux problèmes médicaux inhabituels qui pourraient survenir au retour des pélerins.

Il a cependant refusé de nous en dire plus des raisons de ces directives précisant que ceci relevait du secret de l'Eglise

ce texte est une fiction : toute ressemblance avec des personnes ou des faits existants ou ayant existés seraient pure coïncidence et entièrement fortuits




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